Jer'Echos

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La rue, j'ai vu...

Vive le sport !

La rue, j’ai vu Toulon qui succède à la ville de Nice, ville où je suis né. L’été je faisais du sport, soit du vélo, soit avec une raquette, je prenais la balle qui rebondissait sur le mur et je tapais dedans avec la raquette, un coup droit que l’on appelle un revers, tout ça dans la région des Alpes Maritimes. Ce qui sort de l’ordinaire c’est que le sport ça fait maigrir. Alors j’ai maigri car je fais beaucoup de vélo. Bon courage et bonne journée solidaire.

 

Gilles


La rue j’ai vu, des milliardaires rouler en Porsche.

Alors que des pauvres dormaient sous un porche.

Des alcooliques buvant leur litron de Castelvin dormir à la belle étoile

Alors que les touristes fortunés dorment dans un hôtel cinq étoiles.

Des gens en parfaite santé qui, dans les rues, heureux, passent.

Pendant que d’autres, dans les hôpitaux, trépassent.

 

Nelly


 

La rue, j’ai vu en premier par la fenêtre de mon appartement. Le jour se levait à peine et la rue était presque déserte. Quelle heure ? Avant six heures du matin. On sentait déjà qu’il allait faire très chaud. Les magasins n’étaient pas encore ouverts sauf le café-tabac. Un homme venait de lever le store métallique et commençait à sortir les tables et les chaises sur le trottoir. Au coin de la rue une camionnette blanche a surgi. Elle nettoyait l’asphalte et après son passage le bitume mouillé donnait l’illusion de la pluie. Je trouvais qu’elle allait un peu vite pour faire soigneusement ce labeur. Oui un peu trop vite. Et tout à coup elle a accéléré et est rentrée de plein fouet dans la boutique du bijoutier. Quel bruit incroyable ! La vitrine a explosé et aussitôt une sirène stridente s’est mise à hurler. Trois hommes cagoulés sont sortis de la camionnette et sont entrés dans le magasin. Combien de temps ? Je ne saurais dire, c’était tellement rapide. Trois ou cinq minutes. Ils sont vite ressortis mais je n’avais pas remarqué qu’une grosse Berline noire était arrivée à quelques mètres de là. Elle a reculé quand les hommes sont sortis. Ils se sont engouffrés dedans, laissant la camionnette blanche, qui continuait à laisser s’échapper l’eau en une énorme masse s’épaississait. Et le calme est revenu, mais des gens sortaient des immeubles qui sans doute comme moi avait vu ou simplement entendu cette scène. Voilà ce que j’ai vu dans cette rue St Honoré en cette journée du 2 Août, Monsieur le Commissaire.

 

Lydie


 

La rue j’ai vu dans la ville où j’ai grandi chaque été c’est les jeux aquatiques pour les rencontres sportives et renforcer la solidarité des différentes associations réunionnaises de l’île et cette manifestation a lieu tous les ans, et pendant quinze jours, l’accueil est chaleureux et bien organisé, et cela se passe dans l’Est de l’île, plus exactement dans la commune de St-Benoît et tout ça dans une ambiance de pique-nique familial.

 

Yannick


 

La rue, j’ai vu un poisson en nacre accroché à un hameçon travaille en argent. Poissons, mammifères ou bébêtes bancales, j’en ai vu des brillantes et des passés de mode. A côté de ces fantaisies, j’ai vu crottins de chèvre frais, tomates et autres fruits du soleil. En m’avançant un peu plus sous la galerie napoléonienne, j’ai vu jouets d’enfants et sculptures en bois. De quoi faire plaisir aux petits comme aux grands. La rue ensoleillée mais le parc ombragé par les grands arbres, la galerie et l’opéra majestueux. J’ai vu de nombreux jeudis après-midi estivaux à Vichy.

Et même si les Auvergnats n’ont pas toujours de chance avec la météo, ils gardent dans le cœur le soleil qu’ils n’ont pas dehors. Les jeudis de Vichy ne sont pas tous ensoleillé, mais ils portent toujours la marque de la chaleur et de la gaité. Venez donc participer !

 

Alicia


 

La rue, j’ai vu un village qui est très solidaire avec un accueil, mélange de partage et de rencontre. Dans une ambiance excellente j’étais toute souriante mais après deux jours, un peu défaillante. Mais quel bonheur que ces rencontres solidaires et sportives, Et quels mélanges ! Sport, régions et énormément d’émotion.

 

Rachel


 

Alicante, Espagne.

 

La rue, j’ai vu, écrasée de chaleur, le remblat en bord de mer, où sous les palmiers les gens engourdis se prélassent sur les bancs, sirotent des orchatas, des glaces et des cafés glacés. Tout paraît alanguit,  comme en sommeil.

Trop chaud pour se mettre au soleil sur la plage. Ici on vit au ralenti presque six mois de l’année, on sort à la fraicheur tôt le matin où on attend la tombée de la nuit, alors la ville s’anime. Les gens sont très accueillants et chaleureux, aimables, ils aiment les chants et les danses dans les bars à tapas.

C’est une région française en fait, on y fête le 14 Juillet et on parle français là-bas !

 

 

Colette


Je suis né dans la région de Toulon en Méditerranée où les gens sont souriants. L’été nous sommes contents du passage des estivants qui viennent visiter le port et différents endroits, la plage… J’aime quand il y a la fête de la musique, tout le monde s’amuse, les gens sortent de leur maison, tout le monde se côtoie. La rue, j’ai vu les gens s’illuminer de joie, de rire, dansant tous en cœur, buvant à volonté tout en gardant l’esprit de fête. Je suis un toulonnais, fier de l’être. A bientôt de vous revoir. Welcom in Toulon !

 

 

Fifi

 


La Rue

 

 

J’ai vu  cette longue rue  traversée par de petites rues où aucun rayon de soleil ne passe. L’odeur de moisi enveloppe les murs où l’on peut voir des couloirs sombres.

A travers les portes entr’ouvertes,  le carrelage noir et blanc ne donne aucun charme.

Pourtant cette rue est belle ; de vieilles portes sont encore là ;  le passé est ancré dans les pierres qui pourraient dire des secrets  si on les écoutait. 

Elle éblouit  quand elle débouche sur le port,  une lumière de la mer qui reflète  autour des bateaux. La  statue de Cuverville trône à tout jamais  qui attire des rencontres de toutes sortes par millier.

La ville est cosmopolite ;  dans ces rues qui accueillent les musiques africaines, arabes,  des sourires pris  au vol,  des échanges naturels.

Plus on avance,  plus on retrouve  la Provence  mélangée à  d’autres vendeurs ; certes on entend plus les cris des vendeurs d’antan.  

La région a changé de ton mais il y aura toujours les cigales avec leur chant  d’un été,  les gabians, les mouettes qui survolent notre méditerranée  dans  un accord éternel.

 

 

Raymonde

 

 

 

 

 

 

 



03/07/2017
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