Tous contre la discrimination !
Quelle innocence ? Que dire sur la discrimination ?
J’aurai aimé être connue et non inconnue,
Politiques, artistes,
Pour que la justice soit reconnue,
Que l’on puisse être uni
Et ne pas être dans le néant.
Pouvoir être dans la certitude qu’il n’y aura plus de différence ou indifférence.
Différences de couleurs, de religions, ni pauvre, ni riche, qu’il n’y est plus de triche !
Vous, le gouvernement, où sont les lois, vos écrits, vos textes sur ces injustices ?
Dans la rue, dans nos maisons, pour nos familles,
Il n’y a plus de sécurité.
Nous ne sommes pas des numéros,
Nous sommes des êtres humains.
Discrimination
Je me sens écartelé quand on reste sur ses positions de discrimination.
J’ai envie de soupirer si on me le permet !
J’ai connu la rue et je me suis relevé,
On me prenait pour un mécréant,
Je pense être ou ne pas être, là est la question,
Partager avec son prochain le regard de soi !
Depuis que j’ai l’AAH, je paie un loyer,
Et je peux même élever des petits chiens
Car j’ai la chance d’avoir un bout de jardin
Et de ne plus être SDF !
La roue tourne pour tout le monde,
Personne n’aime se faire marcher sur les pieds.
Non à la discrimination !
Je n’aimais pas être écartelé entre la misère et la pauvreté,
Maintenant, je fais envie et pas pitié.
Je ressemble à un bibendum !
Faite l’amour mais pas la guerre.
Elle est à bannir, misère, pauvreté et surtout la rue.
Faites comme moi : relevez-vous !
Il faut de tout pour faire un monde,
Déjà 10 ans que je suis locataire !
Fils d’ouvrier et beaucoup de fins de mois difficiles,
Quand ça ne va pas, on pousse.
Mais il faut se contenter de ce que l’on a.
Poussez la discrimination, dehors !!!
Sans modération et à grands coups de balais.
Ce se sera que justice !
Un peu de soleil !
Je suis un grand soupirant et je soupire en vain…
Les sclérosés de l’amour
Divisent pour mieux régner.
Excluent, sacrifient les infirmités.
Les crèves la faim,
Hurlent leur exclusion.
Ceux qui crèvent
De ne jamais avoir faim,
Hurlent leur indigestion.
Nous et la discrimination
L’union fait la force dit-on mais nous ne la voyons pas,
Beaucoup, sauf peut-être entre nous mais pas dans l’indifférence,
Nous luttons contre l’injustice d’une couleur de peau, d’un prénom, d’une religion,
Essayons de savoir pourquoi !
De comprendre, de respecter leur nationalité, de lutter contre la ségrégation, de ne pas se taire et d’aller jusqu’au bout,
Lever le point, ignorer, se camoufler ; c’est donner raison à ceux qui votent pour cela.
La haine raciale ou autres discriminations,
Une personne de poids qui est refusée dans l’avion,
L’écarter de la vie, diviser la vie des autres,
Pourquoi ne pas partager avec son prochain le regard de soi…
Du temps des léproseries, les orbites rongées par la lèpre, « El Indio » se tenait à l’écart du groupe ; pantelant et honteux. Il était devenu l’objet des sarcasmes les plus cruels, et du blâme le plus absolu de la part de ses frères de sang.
Le verdict qui lui avait été imposé, impliqué, après la correction par le fouet à clous une mort lente, de par l’abandon et le mépris des siens.
La communauté indigène ne se sentirait régénérée, absoute de ses crimes, si ce n’était par l’intercession suprême du sacrifice de cette mort outragée, et réduite à un infâme auto-suicide.
Discrimination, crime contre la nation!
Regardons les choses en face.
L'avenir est dans la mixité, qu'elle soit sociale, religieuse ou raciale.
Ne dit-on pas que les plus beaux enfants sont ceux issus d'un métissage?
Croire en l'intégration, l'inclusion, la tolérance, ouvre grand la porte à la justice.
Y croire, c'est se montrer solidaire des exclus, des sans-papiers cherchant accueil et refuge loin de leur pays, de leurs racines.
La discrimination, est une dérive facile d'une société qui veut gérer, contrôler, réglementer, aseptiser.
Discriminer, c'est fermer son cœur aux différences et briser les ailes à l'élan naturel vers la paix.
Si toutes les femmes et les hommes
Du monde voulaient se donner la main,
Autour de l’amour, cela ne serait que trop bien.
Alors on pourrait faire une ronde tout autour de notre Monde.
Au lieu de s’entretuer, pourquoi ne pas en parler ?
Le ciel, le soleil est pour tout le monde le même.
Il n’y a pas de discrimination.
Hiver = détresse et survie.
Printemps/été = sourire et vie.
Automne = Rien que de la mélancolie.
Mais nous, ce que l’on veut vivre,
C’est l’amour, l’amitié et la tendresse.
On attend que le soleil se montre comme un trophée
Et que nos vies ne soient plus troublées.
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